Le truc c'est que, le relativisme est chaque fois. Son mode pronominal, celui du chaque, et non celui du n'importe quel. Historique et non nihiliste, une métaphysique négative, plongée dans le miroir d'eau de l'absolutisme narcisse. Son opération, toujours, chaquejours, celle de mettre sous le nez, illuminer, un présent, une situation, et des enjeux : à vivre présentement, et à penser en arrachant un peu ou beaucoup ses racines des vieilles terres. Penser comme repenser, seul penser effectif. Oui c'est dur. Et vitalisant ; la vie vitalisant. Parce qu'il faut refaire "le monde" chaque. Quel désir !
Le relativisme, politique du relatif, comme tout le contraire de la perte des valeurs. Perte des repères oui et vie des valeurs. Aucun tragique là. Tout le contraire d'un amour de l'histoire fétichisée. L'histoire comme ce milieu d'air, qui nous respire, difficile à sentir - courant l'air - et faisant le milieu même de notre dedans-dehors ; la socialité de l'individu. Non son héroïsation. Son embrayage. Devenir.
dimanche 18 novembre 2007
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