Question : pour l'instant, je ne sens pas le travail de germanistique qui se fait dans Le Paradigme de l'étranger, de M. Espagne. Question de disciplinarité. J'y retrouve des faits mis en sens, communs avec le travail historien de C. Charle, et certaines méthodes : l'archive, solidement, et la prosopographie (les chaires). Satisfaction sans problème, et évidemment suggestive, fructeuse. Mais comment le point de vue d'une discipline de l'étranger peut-il intervenir? Le peut-il? (D'ailleurs il n'y a pas de prétention particulière à ça ; il n'y a pas particulièrement à l'attendre). Humm.
Histoire institutionnelle.
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