lundi 12 mai 2008

Problèmes du postcolonial : shame

Il y a un trait de lecture à tracer, pas donné d'avance, entre la Shame de Rushdie et la shame, Disgrace, de Coetzee.
Avec ça, une lumière se produira nécessairement, y compris sur des zones de complexité où les choses se délitent et font fondre des cohérences de sens, sur la catégorie d'histoire littéraire contemporaine et d'études culturelles de tous azimuts : le postcolonial.

Comme agency, voix et oralité, intertextualité et interculturalité, mais plus frictionnel, plus close to the bone, mimicry par exemple (et pourquoi Naipaul est un passage obligé, pour le recueil des problèmes). Où aller entendre -- se faire des théâtres de résonance de -- ce qui se travaille, là. Ou alors simplement : pas.

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